VEF Blog

Va savoir...

Tout était si simple dans cet amusement caché avant ... nous étions enjouées et insouciantes, à l'abris d'assombrissements incertains...

Le doute...

Une nouvelle voie?

 pleure et pleure et pleure

Chapitre du premier chagrin d'amour

Quelle connerie!

C'était peut être ce que j'attendais

...

Souffrir à nouveau

connaître toutes sortes de déceptions possibles

"tu es la fille la plus space que j'ai connue"

"tu ne peux pas t'occuper de tout le monde"

"tu ne choisis pas la simplicité"

une phrase qui revient et des caractères qui me sont propres...

"soit égoïste"

Mais si mon bonheur est dans le leur?

....

son histoire me rappelle la mienne, souffrir comme j'ai souffert...

sa créativité, c'est ce que je recherchais

sa personnalité, sans banalité...

amour spirituel

...

Cette fois, j'ai été égoïste, je ne me suis pas levé et ils n'ont pas apprécié...

"finalement, tu es toujours une gamine"

C'est normal, je me suis toujours retenue, je n'ai pas le droit d'y goûter?

rien qu'un peu?

un peu d'égoïsme et d'immaturité?

      J'ai rêvé (moi, j'ai mangé une pomme =D), et pour la première fois j'ai ressentie...

Dans mes songes les plus affreux, je voyais les autres crier et mourir, torturés et j'en pleurais...

cette fois, c'était moi. étrange...je me décomposais.

Ca brûlait.

Mes rêves divaguent depuis longtemps, sans queue ni tête et c'était ce que j'aimais.

Mais là, un danger atroce venait de faire naître une nouvelle peur en moi.

J'ai failli, je ne pouvais plus contrôler... Ce que j'aimais le plus au monde, ma donnait une gifle en plein visage... Pour me dire, exprimer que mon désintérêt me faisait culpabiliser, réveilles Toi et bouges Toi!!

Je ne rappelle pas de tout, je n'ai pas de subjection dans mes sentiments quand je rêve, mais j'ai vécu cette douleur.

Je ne sais plus comment, ça a commencé  par un trou noir et profond dans ma peau, sur mon ventre. Je me suis pliée pour ramasser quelque chose et, l'organe cutanée a craquée autour de mon nombril, j'était rouge comme une irritation. Les frottements de mes vêtements agrandissaient peu à peu les bordures de ma blessure. La sensation de brûlure. Ma chair filendreuse à moitié attachée découvrait une sorte de matière spongieuse rose et mauve sur mon ventre. Je le sens encore, ça fait mal, terriblement mal, et c'est laid, j'essaye de la garder... J 'ai peur de perdre plus ce soir... J'en suis écoeurée

Ce n'est qu'une partie de mon long soupir dérivant, c'est celle qui m'a le plus marquée.

Plus j'y pense, plus je sens ce feu qui me hante psychiquement pour ressentir physiquement.

Mon monde colorée, insolite est glauque... sans le vouloir

Quand je me suis éveillé, et décidé à reprendre mon boulot, je lis dans mon agenda "dissection" ... ça explique des choses... =_________=