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Un viol! =D

(la fin de ce récit =DDD)

(vous savez quoi? il y a eu de grandes pluies torrentielles jeudi soir. Je suis rentré trempée des pied à la tête. Et l'eau avait commencé à s'infiltrer dans mon merveilleux cahier bleue oO''. J'ai tout jeté à côté du radiateur dans l'espoir de rattraper les dégats. Le lendemain, je vérifiais les états de mes affaires et constatais, que seul les petits carreaux des pages étaient effacés, c'est costaud le crayon à papier oO")

  Il appuya sa tête contre les briques et releva sa jupe. La jeune fille  compris son intention en sentant cette main qui la dénudée. Elle voulut percevoir cet acte mais la compression contre cette surface solide la bloquait de tout mouvement. Il s'introduisit sous le coton. Ce contact la fit frémir. Le tissu glissa le long de ses jambes blanches et calbées. Il effleurait les contours de ses courbes. Tremblante, son inquiétude grandissait.

"quand? quand? je ne veux pas! jamais!"

  Sous cet effroi, elle voulut s'éviter la représentation de cet exhibition. Elle s'ôta la vue en apréhendant la suite.  A son entrée, tous ses muscles se contractèrent, elle grimaça. Il la faisait sangloter de gémissements à la vitesse croissantes de ses pulsions. (gnéhéhé)

Les uniques lamentations de la fillette tourmentée, ébranlaient l'aphone solitude nocturne qui les étouffait.

  Quand il eut terminé de déverser son envie en elle, il changea comme de personnalité. Son comportement trahissait sa tendresse intérieure, si refoulée. Il essuyait ses larmes déjà sèches depuis longtemps. Elle l'observait de ses prunelles répugnées de tout. Une faille. Il recherchait peut être son pardon en la réconfortant. Le choc restait mais elle ne ressentait plus son déchirement, c'était maintenant trop profond. Un anesthésie. Et lui même, repartit , quelque part détruit.  Comme un mal transmissible, elle lui avait offert son mal-être en remerciement. Elle suivait de ses yeux mornes, cette lumière qui s'atténuait dans la brume matinale et le remercia encore.

Lui aussi, était un inconscient et elle le pardonnait...

Il blessait à cause de ce manque qu'il éprouvait : l'amour.

Il se vengeait de ne pas le connaître.

Elle pensa à une âme en détresse.

Elle voulait lui faire regretter.

Qu'il comprenne sa tristesse.

Sa vengeance arrivera à son tour.

Il aura mal, très mal, il va souffrir...

Plaisir vicieux...

  Elle le haïssa par amour. C'était la perte encore plus flagrante de son esprit qui avançait.

Lui qui voulait la déguster, la dévorer, l'avait laissée vierge. Il n'avait pas terminé...

  Ce soir, il avait déjà senti son mal et cela le blessa encore plus. Une prise de conscience...

   Il continuera à s'engouffrer plus loin dans la douleur, jusqu'à ne plus la sentir et, devenir totalement fou.

Remplacer l'horreur par l'adoration.

Folie.

(bon c'est la fin, mais mes parents sont trops envahissants ce soir, je peux pas continuer, Bonne nuit...)